Je suis créateur et toi aussi !
Depuis que je suis petit on m’a appris tout ce que je devais connaître de ce monde : l’espace, La terre, les océans, les continents, les civilisations, les langues, les mathématique, les règles en société, les lois, le travail, l’économie, la médecine, la politique, le bien et le mal, les religions, l’infini et le fini...etc. J’ai fais des “hautes études” et des années d’études à l’étranger. J’ai accumulé le savoir car on m’a dit que savoir c’est pouvoir. J’ai monté des sociétés, employé du personnel, et créer de la richesse et plus je montais, plus ce système était concret, physique, tangible, et économique… J’allais à 200% tout le temps en trouvant cela excitant et motivant, a peine le week-end pour dormir et quelques soirs pour partager avec les connaissances ou faire du sport.
Seulement, la partie essentielle de moi, qui demandais à être heureux et aimer… et bien c’était pour plus tard...Des coups de blues parfois et l’impression de se battre contre les autres et de tout porter sur les épaules, avec la foie d’y arriver fixée aux chevilles.
Je pensais vraiment que le monde était comme ça !
ET BIEN OUI il étais comme ça parce que je le pensais comme ça et je le vivais comme ça? Toutes les expériences que j’en faisais étaient comme ça! Et j’avais bien raison de valoriser mon égo et ma connaissance de ce monde physique et tangible… comme 99.99% des autres personnes qui le font dans notre civilisation occidentale, comme dans une course effrénée à la réussite de ce modèle.
ET pourtant…
Un jour, un soin, en mettant mes mains sur un cheval qui était en colique et tout bascule. Il guérit quasi dans l’instant. IMPOSSIBLE, et pourtant je venais de le vivre, de le faire, de le faire “être”. Je venais de changer le cours immuable des choses, du temps et du réel. Toutes mes convictions venaient de voler en éclats la dans l’instant… Mon mental forge l'inertie de résister à cette nouvelle compréhension, de luter pour trouver la faille comme le cartésien qui explore le doute, mais cette même pensée s'est retourné contre le mental lui même. Ce que je connaissais de ce monde était CROYANCES, des pensées et des émotions qui ne collaient pas avec ce qui venait de se passer. En plus cela se répétait de jour en jour, de guérison en guérison, de nouvelles compréhensions, de nouvelles acceptions, de nouveaux accueils.
L’accueil de ce “DON” me donnait de donner encore plus chaque jour… Je dissipais mes doutes, et je remontais à la racine de mes pensées et émotions : des intentions pour créer la guérison. Rien que les intentions suffisaient pour que la personne crée sa guérison, se redresse, se détorde, change son corps, modifie son crâne ou sa posture. Je pouvais l’enregistrer dans tous les supports dont l’eau que j’affectionne particulièrement…et en remontant à l’origine de ces intentions j’y découvrit l’AMOUR et l’INSTANT.
“MAGIQUE”?
“MIRACULEUX”?
Et bien non! juste ÊTRE le je suis et plus le personnage qui FAIT. Le je suis qui est créateur, “incarnateur”, non pas victime, la particule d’un infini qui est elle même infinie. Je suis déjà le tout qui fait l’expérience du faire. Et là, une conscience qui s’ouvre, un soleil qui brille, le mental qui se mets au service de l’esprit et qui s’éveil à de nouvelles perceptions et sens… des voyages en conscience, partagés avec d’autres qui s’éveil dans les soins. De véritable éveils à qui je suis… Il n’y a plus de chemin, car je suis déjà tous les chemins! Je peux voir et créer le chemin que je vais parcourir mais je ne suis pas sur le chemin, j’en fait juste l’expérience, je suis déjà arrivé en haut de la montagne, la plus haute, et je n’ai pas besoin de savoir mais juste d’être qui je suis : créateur. Nous sommes créateur fait à l’image de notre créateur qui faisons l’expérience de notre création. Merci à cet esprit “in”, à ce corps “carne” et au mental qui fait vibrer notre “in carne” (esprit incarné) dans notre réalité par nos pensées et émotions.
Namasté prends alors tout son sens, alors...
NAMASTE !